Nowadays social participation is a key issue to strength democracy and citizenship. It is devoted as a constitutional right in Brazil and it is used as an important tool to optimize given actions, programmes and governmental projects since the decentralization in 1990. The policy culture, the centralisation and the dominance of certain groups in decision-making can be considered as important constrains to institutions that try to lead participatory projects. Furthermore, there is no common ground for using participation methods within different hierarchical levels of public administration. This kind of participation has been driven into a change on the identity, mobilization and in action processes within non governmental society. It is necessary to build up new skills to engage the public sector, mostly in the cases where social control of public policies has significant social costs. NGO’s are focused on environmental conservation. They also take care of participatory opportunities that are created by government. In the case of water management they assume concrete responsibilities on decision-making. The National Policy of Water (Law no 9.433/97) in Brazil, has designated Basin Board as deliberative spaces for participation. This participatory model followed the French experience of water management, after the water framework from 1964. In Portugal there is any deliberative participation, even though the Law 45/1994 has designated the Basin Board, with the involvement of government, stakeholders and NGO’S. In the three countries: Brazil, Portugal and France, despite the historical specificities, administrative and cultural policies, the participation on water management shows up many different conflicts, since they implie the participation of different actors with different negotiation abilities. These conflicts reveal also the lack of a feasible methodological participatory framework, which environmental NGO’s intend to develop in accordance with new governance and action concepts in order to influence decision-making. The present thesis aims at analysing the participatory processes trough which environmental NGO’s are engaged with in the spaces created by government for water management. The consolidated experience in France and the centralization in Portugal are the most important aspects to analyse the Brazilian system, which law has been recently celebrated ten years of application. The methodology was based both in European and North American social movements analysis, with interviews and field work, as well as the study of environmental NGO’s. In what concerns water management, NGO’s have been faced a transitional stage; from the fight against environmental destruction towards a collaborative and a specialised profile, dominated by the government interests. We concluded that, despite the institutional changes and the ways of motivating action and its inherent strategies, the participatory forums created by government are not efficient enough to influence decision-making in an effective way, once the conditions for negotiating are not the same among different stakeholders. It is necessary to develop a methodological framework that allows participation going further on water management process.
La participation sociale est l’ordre du jour dans la consolidation de la démocratie et de la citoyenneté. Célébrée comme un droit constitutionnel au Brésil, la participation est utilisée, cependant, comme un outil pour rendre plus optime des actions, des programmes et des projets du gouvernement, avec la déscentralisation intensifiée vers les annés 1990. La culture politique, la centralisation et le contrôle du pouvoir sont des défis pour la participation; surtout s’il s’agit de difficultés pour les institutions responsables d’exécuter des projets de participation. Par contre, il n’y a pas d ́accord pour l’utilisation de techniques de participation pour les niveaux hiérachiques dans l’administration publique. Ce genre de participation a conduit une transformation dans l’identité et dans les formes d’articulation, mobilisation et action de la société civile. Il faut dévélopper des nouvelles habilités por s’engager dans l’espace publique, surtout dans l’offre de l’Etat, dont les attributions et les coûts sociaux sont considérables. Les ONG’s sont engagées dans la lutte pour l’environnement. Elles occupent aussi les espaces de participation crés pour l’Etat. Dans la gestion des ressources hidriques, il faut avancer sur les éxigences pour influencer les décisions. La Politique Nationale des Ressources Hidriques (Loi n° 9.433/97) au Brésil, a crée des Comités de Bassin comme des espaces de la participation delibérative. Ce modèle de participation a suivi l’expérience française de gestion des eaux, après la Loi des Eaux des annés 1964. Au Portugal, il n’y a pas de participation delibérative, mais la Loi 45/1994 a créé des Conseils de Bassin, avec la participation du gouvernement, des usagers et de la société civile. Dans les trois pays: Brésil, Portugal et France, malgré les spécificités historiques, politiques, admnistratives et culturelles, la participation dans la gestion des eaux montre plusieurs conflits, lorsqu ́il s’agit de différents acteurs et de leurs conditions de négociation inégales. Ces conflits, révellent aussi l’absence d’un cadre méthodologique pour la participation, lequel les ONG’s sont obligées de dévélopper en plus des nouvelles formes d’organisation et d ́action pour influencer des décisions. Cette thèse a analysée les processus de participation dans lesquels les ONG’s de l’envirronnement sont engagées, dans les espaces de participation crés pour l’Etat dans la gestion des eaux. L’expérience française consolidée et la centralisation au Portugal sont des éléments importants pour analiser le systhème brésilien, dont la loi a completé récemment dix ans d’execution. La methodologie a utilisé le modèle european et américain d’analyse des movements sociaux, avec des entretiens et des recherches au terrain, associés à l’étude des ONG’s de l’environnement. Dans la gestion des eaux, les ONG’s ont passé par une transition de l’opposition à la destruction de l’environnement vers la démarche collaboratrice et specialisée, dominée par des interêts du gouvernement. On a conclu que, malgré les changements institutionnels et les formes de mobilisation et stratégies d’action, les espaces participatifs crées par l’Etat n ́ont pas d ́efficacité pour influencer les décisions, car les conditions de négociation sont inégales entre les acteurs sociaux. Il faut dévélopper un cadre methodologique pour faire avancer la participation dans les systhèmes de gestion des eaux.